Dès la deuxième page nous avons droit à un gag où l'on voit des personnages de la rédaction fumer. Si cela n'avait rien d'étonnant dans les premiers volumes, dans un tome aussi récent il est incroyable que la censure ait laissé passer cela. Ensuite Franquin nous invite à percer le mystère des rêves de Gaston en nous plongeant (c'est exactement le mot qui convient) dans ses songes. Il y a aussi le retour de Labévue toujours aussi "en forme" ! Nous découvrirons...
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