En 1945, à la libération du camp de Buchenwald, plus d’un millier de jeunes Juifs âgés de 4 à 18 ans attendent que l’on statue sur leur sort. S’ils sont vivants, c’est par miracle. Les enfants sont gazés dès leur arrivée. Tous sont démunis : ils sont épuisés, désorientés. Certains tentent de retrouver leur famille avec l’espoir qu’ils soient vivants, d’autres essaient de se rappeler les noms de leurs oncles, cousins, qui sont partis aux États-Unis, en France ou en Palestine. La plupart ont tout perdu et sont seuls. Alors que l’OSE, « L’oeuvre de secours aux enfants » organise leur accueil et tente de les aider, la ville d’Ecouis (Eure) accueillera une partie des orphelins le temps d’un été, de juin à septembre 1945. Un été qui sera une rencontre entre ces enfants et les moniteurs de l’OSE. Un été où chacun se battra furieusement pour avoir le droit de vivre dignement.
Les enfants de Buchenwald
En 1945, à la libération du camp de Buchenwald, plus d’un millier de jeunes Juifs âgés de 4 à 18 ans attendent que l’on statue sur leur sort. S’ils sont vivants, c’est par miracle. Les enfants sont gazés dès leur arrivée. Tous sont démunis : ils sont épuisés, désorientés. Certains tentent de retrouver leur famille avec l’espoir qu’ils soient vivants, d’autres essaient de se rappeler les noms de leurs oncles, cousins, qui sont partis aux États-Unis, en France ou en Palestine. La plupart ont tout perdu et sont seuls. Alors que l’OSE, « L’oeuvre de secours aux enfants » organise leur accueil et tente de les aider, la ville d’Ecouis (Eure) accueillera une partie des orphelins le temps d’un été, de juin à septembre 1945. Un été qui sera une rencontre entre ces enfants et les moniteurs de l’OSE. Un été où chacun se battra furieusement pour avoir le droit de vivre dignement.
Disponible le 4/24/2025
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