Déjà le sixième tome de La princesse et la bête, un shojo très sympathique dans l’univers présenté depuis le début, mais qui commence à montrer ses limites quant à une éventuelle évolution.
On termine la fête de la fondation qui a faillie mal se terminer, mais qui comme d’habitude, est sauvé par Salifie. C’est une récurrente depuis le début du manga, on a l’impression que quoi qu’il se passe, tout peut virer au drame, comme ici pour une simple tenue vestimentaire, mais qu’au final, Salifie...
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