Riku affronte un boxeur féroce, presque sauvage. Le combat devient une danse chaotique entre deux bêtes blessées. Chacun cogne pour exister. Riku touche ses limites : son corps crie, son esprit vacille. Ce tome est marqué par une violence presque viscérale. Pourtant, c’est aussi l’un des plus beaux visuellement. Les coups sont chorégraphiés avec une précision clinique. À travers la douleur, Riku trouve une forme de vérité : il ne boxe pas seulement pour survivre, mais parce qu’il n’a jamais rien eu d’autre.
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