Dans ce volume, Riku semble éteint. Il ne parle presque plus, il encaisse. Il affronte un adversaire méthodique, froid, robotique. Le combat est lent, pesant, comme s’il se déroulait dans une cage mentale. Ce tome marque un moment de repli : l’action se fait rare, mais l’atmosphère est lourde. Riku est plus seul que jamais. Il combat, mais sans passion. C’est la mécanique qui parle. Pourtant, dans les dernières pages, une fissure s’ouvre. Quelque chose en lui résiste encore. L’étincelle n’est pas morte.
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