À la fin de ce tome, Michiko se montre audacieuse, ce n’est pas simple connaissant son caractère, mais connaissant l’ultimatum que son père lui a lancé. Notre héroïne a soufflé ses 30 bougies, pas de petit ami ni de fiancée à l’horizon, mais son amour pour Kurosawa est toujours présent et notre héros ne remarque rien, mais leurs joutes verbales sont toujours animées, c’est ce qui rend leur complicité bien attachante.
Aya Nakahara fait un pas en avant. Elle rend ses personnages à chaque tome de plus en plus attachants.
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