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$29.98 Résumé de l'éditeur Dargaud
Un homme de main n'a pas droit à l'erreur. Lucien le sait, son patron ne lui pardonnera pas. Il aurait pu faire n'importe quoi pour sauver sa peau : prendre un avion pour l'étranger et tenter de se...
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Dans ce polar déjanté, Jacky Schwartzmann et Sylvain Vallée lancent un homme de main en cavale, dans une petite paroisse sous la neige, après qu’il ait assassiné par maladresse un homme d’église. Lucien, notre tueur, a décidé de prendre la place du mort pour se faire oublier. Habillé de sa soutane, il devient le curé du lieu. Entre deux jurons et une formation Youtube expresse, il tente de donner le change devant des paroissiens qui n’en demandent pas tant. Pendant ce temps, des voyous...
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Lucien est un homme de main qui travaille toujours proprement, jusqu'au jour où le neveu préféré de son patron se tue en prenant peur et en tombant par la fenêtre de son appartement. Pour éviter la colère de son patron, il ne trouve rien de mieux que de se cacher en se faisant passer pour son neveu comme prêtre dans un petit village d'Auvergne... Ce premier tome d'un diptyque nous raconte l'histoire de cet homme de main pas si mauvais mais pro, qui fait une boulette impardonnable et qui suis...
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Lucien est un tueur à gage. Dans ce métier, il faut travailler proprement si on ne veut pas tirer sa révérence trop tôt ou à défaut bien se cacher. Le plus simple serait de prendre un aller simple pour une île vierge du fin fond du monde pour se faire oublier sauf que Lucien a eu une invitation divine… Il devient le père Philippe et va officier dans l'église de Saint-Claude.
Ce premier opus de Habemus Bastard scénarisé par Jacky Schwartzmann et Sylvain Vallée propose une première partie...
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Soda est une de mes séries préférées. Alors, en reprenant deux des ingrédients principaux (un homme d’église, des flingues) “Habemus Bastard” a forcément titillé ma curiosité. Mais pour moi la mayonnaise n’a pas pris. J’ai trouvé que ce premier opus était lent à se mettre en place, qu’il bégayait en nous rappelant plusieurs fois la situation, que les dialogues n’étaient pas très bien sentis et que les scènes et personnages étaient clichés. Pourtant le dessin me plaît bien, la mise en case est...
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Après nous avoir emmenés explorer les vicissitudes du Katanga, Sylvain Vallée revient dans l’hexagone avec un diptyque dont le titre sonne comme une production de Quentin Tarantino. L’anti-héros dont nous allons suivre les pérégrinations lui aurait d’ailleurs beaucoup plus. En effet, ce Lucien qui n’a d’autre ambition dans la vie que de jouer les gros bras pour le plus offrant et de ramasser ‘l’oseille’ pour service rendu cadre bien avec le type de personnages que le réalisateur hollywoodien...
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Coup de cœur –
Ce premier album d’un diptyque est une vraie pépite qui plaira à un large public. Il mélange habilement le thème du tueur à gages devant se cacher après un contrat à un humour décalé de situation. Il a aussi un côté très cinématographique qui commence dès la page de garde avec des empreintes de pas dans la neige. Puis, cela continue par une introduction de 6 planches montrant l’exécution du contrat quasiment sans dialogue où le lecteur est au cœur de l’action. Mais, l’histoire ne...
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"Dieu est un être nécessaire" - et les assassins, aussi. Lucien est un tueur à gages, fier de son métier et de son professionnalisme - car il travaille toujours proprement. Jusqu’au jour où, par accident, il fait tomber un curé par la fenêtre et doit se casser en vitesse - en empruntant la soutane de sa victime. Et son identité, juste le temps que les choses se calment. Mais qu’est-ce qu’un criminel pourrait prêcher aux moutons? :) A part la prémisse loufoque, “Habemus Bastard” est étonnamment...
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