Après Monkey Punch, c’est au tour de Tadashi Yoshimoto de convaincre « Bunjin » de l’étendue de son talent dans ce 2e volume sur 3 de Losers, chronique d’un magazine légendaire. Après de nombreux refus, celui-ci commençait pourtant à baisser les bras devant le classicisme et le manque d’ambition du paysage éditorial japonais du milieu des années 60.
On disait jusqu’alors au Japon que les adultes, contrairement aux enfants, n’étaient pas capables d’apprécier des planches chargées, et quand je...
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