Résumé

Peter Kuper adapte en bande dessinée quatorze histoires de Franz Kafka ! L’univers de Kafka sied à merveille à cet auteur américain engagé contre les régimes autoritaires et observateur attristé de l’absurdité du monde contemporain. Kuper est également un adepte de la carte à gratter, une technique particulièrement pertinente pour évoquer des ambiances oppressantes. Il a commencé à adapter Kafka dès 1988. Un premier recueil de neuf nouvelles a été publié en 2004 aux éditions Rackham, avec son adaptation de La Métamorphose. Le présent recueil comporte cinq autres histoires, dont La colonie pénitentiaire. « Kafka est mort à l’âge de quarante ans, il y a près d’un siècle, mais ses histoires résonnent comme si elles avaient été écrites hier... Leur place est ici et maintenant, ses fables sont des feuilles de route pour notre condition humaine. Elles nous avertissent des dangers que peuvent représenter nos institutions, nous rappellent nos faiblesses et nous poussent à rire de nos absurdités. Alors que notre monde mérite de jour en jour davantage l’adjectif « kafkaïen », les messages que Kafka nous souffle à l’oreille et entre les cases prennent un sens renouvelé. » Extrait de la préface de Peter Kuper

Trier par : Ancien

Kafkaien

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Peter Kuper adapte en bande dessinée quatorze histoires de Franz Kafka ! L’univers de Kafka sied à merveille à cet auteur américain engagé contre les régimes autoritaires et observateur attristé de l’absurdité du monde contemporain. Kuper est également un adepte de la carte à gratter, une technique particulièrement pertinente pour évoquer des ambiances oppressantes. Il a commencé à adapter Kafka dès 1988. Un premier recueil de neuf nouvelles a été publié en 2004 aux éditions Rackham, avec son adaptation de La Métamorphose. Le présent recueil comporte cinq autres histoires, dont La colonie pénitentiaire. « Kafka est mort à l’âge de quarante ans, il y a près d’un siècle, mais ses histoires résonnent comme si elles avaient été écrites hier... Leur place est ici et maintenant, ses fables sont des feuilles de route pour notre condition humaine. Elles nous avertissent des dangers que peuvent représenter nos institutions, nous rappellent nos faiblesses et nous poussent à rire de nos absurdités. Alors que notre monde mérite de jour en jour davantage l’adjectif « kafkaïen », les messages que Kafka nous souffle à l’oreille et entre les cases prennent un sens renouvelé. » Extrait de la préface de Peter Kuper

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